Dans les couloirs du bâtiment administratif, sur le campus de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, il suffit de pousser une porte pour se retrouver dans une salle pleine de hérissons faisant la sieste dans des cages.

Un écriteau demande de rester silencieux. Deux hérissons sculptés dans des pommes de pins veillent au grain. A l’autre bout du couloir, l’espace des pigeons est inhabituellement tranquille, les étagères sont vides : « On a moins d’animaux que d’habitude, peut-être qu’avec les Gilets jaunes les gens sont plus occupés » explique, riant, Jean-François Courreau, zootechnicien et président de Faune Alfort, la branche associative du CEDAF (Centre d’accueil de la faune sauvage de l’Ecole vétérinaire d’Alfort).

Pourtant, l’activité ne manque pas dans cette structure qui doit répondre des sollicitations de plus en plus nombreuses. (…)

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