Comment les commissaires-priseurs encouragent le trafic d'ivoire

« Un éléphant est braconné toutes les 15 minutes en moyenne. » C’est dans ce contexte que l’association IFAW (International Fund for Animal Welfare) a exploré le marché des ventes aux enchères d’ivoire en France pendant deux mois, en 2014.

Selon son enquête, la moitié (43 %) de l’ivoire « travaillé » (c’est-à-dire transformé ou sculpté) vendu en salles des ventes n’est pas accompagné d’un certificat légal Cites, prouvant son ancienneté et autorisant sa commercialisation.

En cause selon l’IFAW : la mauvaise connaissance de la réglementation encadrant le commerce de l’ivoire par les professionnels du marché des enchères. Une méconnaissance qui entraîne des dérives et l’achat d’objets alimentant un trafic dans les pays touchés par le braconnage. (…)

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