Pour la biodiversité, un demi-degré de réchauffement change tout

Hausse du niveau des mers, submersion des côtes, canicules et sécheresses plus sévères, précipitations plus intenses… Les menaces que fait peser le changement climatique sur les sociétés humaines sont connues. Mais il met également en danger l’ensemble du vivant. Or, pour la faune comme pour la flore, chaque degré de réchauffement – et même chaque demi-degré – est crucial.

Un sujet dont s’empare Nicolas Hulot, le ministre de la transition écologique, qui présente vendredi 18 mai à Marseille des pistes pour tenter de préserver le monde du vivant et mobiliser autour d’une biodiversité en danger qui mérite un « sursaut d’indignation ».

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