Pourquoi le « GIEC de la biodiversité » est mal parti

L’organisme est encore inconnu du public mais il est destiné à un grand avenir. Formellement créée en avril 2012, la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a une mission cardinale.

Il s’agit d’opérer régulièrement la synthèse des connaissances disponibles sur la biodiversité, sur les impacts de son érosion et sur les pistes d’action possibles pour la préserver. L’IPBES sera donc à la sauvegarde des richesses naturelles ce que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est à la lutte contre le réchauffement. Une conférence s’est d’ailleurs tenue à Paris, jeudi 6 novembre, pour jeter les premiers ponts entre les deux organisations.

La suite de l’article du Monde : cliquez ici