Parfois, une explosion vient troubler le silence régnant par-delà les barbelés de la DMZ (zone dite « démilitarisée »), cette bande de quatre kilomètres de large en moyenne qui déchire la péninsule coréenne d’est en ouest, sur 248 kilomètres, depuis le fragile armistice signé en 1953. Un animal vient sans doute de sauter sur l’une des innombrables mines posées par les frères ennemis dans ce no man’s land, que l’ex-président américain Bill Clinton avait décrit comme « l’endroit le plus effrayant de la Terre ». (…)

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