Le carnage a commencé!

Ça y est : l’Annelies Ilena — le plus grand chalutier pélagique du monde — vient de commencer son entreprise de destruction de l’océan et des animaux marins au large des côtes britanniques.

Le massacre océanique ne se déroule que depuis quelques heures, mais à compter de maintenant, chaque jour qui passe est un jour de destruction massive de trésors de biodiversité marine.

Le « navire de l’enfer » ne serait pas en train de dévaster les eaux de l’Atlantique Nord-Est si le gouvernement français ne lui avait pas octroyé des quotas de pêche.

Un homme est responsable de cette situation : Fabrice Loher. Le ministre de la Mer du gouvernement Barnier s’arc-boute sur sa décision qui ne profite qu’aux industriels néerlandais. Mais il est plus isolé que jamais.

Nous devons le contraindre à revenir à la raison et à défendre les animaux marins, le climat et les pêcheurs français.

Nous devons obtenir qu’il retire, de toute urgence, le permis de destruction qu’il a octroyé à ce méga-chalutier.

Chaque jour qui passe est crucial

Chaque jour qui passe, des millions d’animaux marins sont perdus à tout jamais. 

Mais chaque jour qui passe est aussi un jour de colère et de résistance. Chaque jour qui passe est une opportunité : un jour où nous pouvons obliger le gouvernement français à retirer le permis de destruction qu’il a accordé à l’Annelies Ilena. 

Pour y arriver collectivement, chaque personne qui lit ce mail a un rôle déterminant à jouer dans les jours qui viennent.

Un combat emblématique

Ce combat contre l’Annelies Ilena est crucial, historique et emblématique.

Emblématique de la soumission de la puissance publique aux puissances privées, de l’abandon de l’intérêt général aux intérêts particuliers. Mais emblématique, aussi, de l’attachement des citoyennes et des citoyens à des principes fondamentaux : l’intégrité et la transparence de la décision publique, la justice et la défense de l’océan et des animaux marins.

Une histoire démentielle

Depuis des mois, nous traquons ce monstre marin de 145 mètres à travers le monde et début novembre, nous avons réussi à l’intercepter.

 Lorsqu’il a quitté l’Amérique du Sud, il y a environ un mois, nous avons resserré notre surveillance GPS et l’avons vu s’approcher dangereusement des côtes européennes.

ue nous avons décidé d’agir en urgence.

Nous avons parcouru 500 km pour aller à IJmuiden, aux Pays-Bas, véritable plaque tournante de la pêche industrielle européenne, pour vous montrer comment le massacre de l’océan et des animaux marins se déroule concrètement, dans le silence le plus total. Et pour rendre public ce qu’ils pensaient pouvoir garder secret.

Dans un décor apocalyptique, nous avons été suivis, photographiés et intimidés pendant plusieurs jours, mais cela valait vraiment la peine. Il fallait vous montrer ces images rarement exposées au grand public.

Regardez notre vidéo. Nous l’avons faite pour vous et grâce à votre soutien. Regardez-la et partagez-la autour de vous.

Il nous reste peu de temps. La pression citoyenne doit continuer à se concentrer sur l’Annelies Ilena car il est actuellement en train de dévaster les eaux européennes. Des centaines de milliers de citoyens se sont déjà mobilisés à nos côtés depuis une semaine.

La mobilisation doit s’amplifier.

Retenez que sans un océan sain, c’est l’ensemble de la vie sur terre qui est mise en péril. L’océan est le poumon bleu de la planète, c’est le principal régulateur du climat mondial.

Or, l’océan est dans un état absolument critique. La pêche industrielle et le réchauffement climatique l’ont mené au bord de l’effondrement.

Il y a urgence à protéger l’océan de ces machines de mort partout où nous le pouvons.

Comment agir ?

  1. Parlez de ce scandale autour de vous.
  2. Partagez massivement ce mail à vos proches.
  3. Soutenez nos actions !

SOUTENIR BLOOM

Restez en alerte : nous vous tiendrons informé·es de l’évolution de ce combat en temps réel sur nos réseaux sociaux.

NON à l’Annelies Ilena.

NON au gigantisme industriel.

NON à la destruction de l’océan et au massacre de millions d’animaux marins.

Merci pour votre soutien indéfectible.

Le carnage a commencé, mais nous pouvons l’arrêter.

Ensemble.