Les oies sauvages jouent aux montagnes russes au-dessus de l’Himalaya

Elles ne payent pas de mine : une silhouette enrobée, un décollage laborieux, un vol sans grâce et, pour couronner le tout, un chant harmonieux comme un klaxon de scooter. Pourtant, l’oie à tête barrée est une athlète de haut, de très haut niveau.

Au cours de sa migration, des plaines de Mongolie où elle niche en été jusqu’aux vallées indiennes où elle passe l’hiver, l’oiseau franchit la plus haute chaîne montagneuse du monde, l’Himalaya. Un exploit qu’un seul autre volatile – la grue demoiselle – parvient à réaliser. Pour la première fois, une équipe internationale dévoile ses secrets dans la revue Science, qui consacre sa couverture à l’événement.

La suite de l’article sur le site du Monde : cliquez ici et sur le site du Figaro : cliquez ici