Menacé par le braconnage, incapable de vivre en captivité : la dure vie du pangolin

Il a la taille d’un chiot de labrador et est recouvert d’écailles. La queue tendue parallèlement au sol pour se maintenir en équilibre, Tamuda tient ses petits bras en avant, à la façon d’un tyrannosaure. Le jeune pangolin est guidé par un soigneur vers un tas de terre, que l’homme entame avec une pioche.

Il encourage Tamuda : regarde, des fourmis. Le pangolin comprend et commence à manger. Sa langue, presque aussi longue que son corps, fouille les fissures, et ses longues griffes imitent la pioche.

Il mange pendant quelques minutes, puis, d’un pas lourd, s’en va un peu plus loin.

Enfin, il se laisse tomber sur le côté comme un petit enfant sur le point de pleurer, et s’enroule autour de la botte du soigneur. (…)

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