WWF partenaire du film Disneynature Nés En Chine : au cinéma le 23 août

Panda géant - Dinseynature Nés en Chine<br />© Disneynature

Le dernier film de Disneynature, Nés en Chine, sortira le 23 août prochain en partenariat avec le WWF. Il proposera un voyage au cœur des régions les plus sauvages de la Chine, là où très peu d’humains se sont aventurés.

La sensibilisation à la protection de la nature passe par l’émotion que suscite l’émerveillement devant la beauté du monde naturel. C’est cette vision qui est au cœur du partenariat entre Disneynature et le WWF pour le film Nés en Chine. Présent en Chine depuis de nombreuses décennies, le WWF œuvre pour préserver le capital naturel exceptionnel de ce pays et ses espèces emblématiques telles que le Panda géant et le Léopard des neiges que les spectateurs découvriront tout au long du film.
 

Le film Nés en Chine en quelques mots

C’est la comédienne Claire Keim qui nous raconte le destin de trois familles d’animaux qui s’entrecroisent dans les environnements les plus extrêmes de notre planète, nous révélant les moments les plus intimes de leur existence :

  • Yaya, une maman panda géant qui guide son petit Mei Mei alors qu’il explore le monde et gagne en indépendance,
  • Tao Tao, un Rhinopithèque de Roxellane – plus communément appelé singe doré – âgé de deux ans qui cherche sa place au sein de sa famille après la naissance de sa petite sœur,
  • Dawa, une panthère des neiges – un animal mystérieux rarement observé par l’homme – confrontée à l’incroyable difficulté d’élever ses deux petits dans l’un des habitats les plus hostiles et les plus impitoyables du monde.

  
Pour plus de détails, rendez-vous sur la page Disneynature du film
 

 

Pour en savoir plus sur l’action du WWF en Chine

Le WWF a lancé le premier programme national pour la conservation du grand Panda en 1992. Il a permis la création d’une cinquantaine de réserves couvrant plus de 10 400 km2. La protection des forêts et la reforestation entrepris par la Chine ont aussi permis d’augmenter de près de 12% l’habitat des Pandas entre 1988 et 2010 et surtout de reconnecter les habitats isolés. En une trentaine d’années, les moyens mis en place pour préserver le Panda géant ont montré leur efficacité : le Panda a vu ainsi sa population passer de 1 100 individus à l’état sauvage lors du recensement de 1985 à une population de 1 864 adultes en 2015.

C’est avec la même détermination que le WWF a lancé en 2015 son premier grand plan d’action pour sauver le Léopard des neiges dont près de la moitié de la population vit en Chine. Perte d’habitat, braconnage et conflit avec l’homme, la population du félin a décliné de plus de 20% ces 20 dernières années.

Plus d’informations sur les actions que mène le WWF pour le Panda géant et le Léopard des neiges sur notre site internet.

Disneynature et le WWF présentent le film Nés en Chine : sortie officielle le 23 août 2017

Panda géant - Dinseynature Nés en Chine<br />© Disneynature

Le dernier film de Disneynature, Nés en Chine, sortira le 23 août prochain en partenariat avec le WWF. Il proposera un voyage au cœur des régions les plus sauvages de la Chine, là où très peu d’humains se sont aventurés.

La sensibilisation à la protection de la nature passe par l’émotion que suscite l’émerveillement devant la beauté du monde naturel. C’est cette vision qui est au cœur du partenariat entre Disneynature et le WWF pour le film Nés en Chine. Présent en Chine depuis de nombreuses décennies, le WWF œuvre pour préserver le capital naturel exceptionnel de ce pays et ses espèces emblématiques telles que le Panda géant et le Léopard des neiges que les spectateurs découvriront tout au long du film.
 

Le film Nés en Chine en quelques mots

C’est la comédienne Claire Keim qui nous raconte le destin de trois familles d’animaux qui s’entrecroisent dans les environnements les plus extrêmes de notre planète, nous révélant les moments les plus intimes de leur existence :

  • Yaya, une maman panda géant qui guide son petit Mei Mei alors qu’il explore le monde et gagne en indépendance,
  • Tao Tao, un Rhinopithèque de Roxellane – plus communément appelé singe doré – âgé de deux ans qui cherche sa place au sein de sa famille après la naissance de sa petite sœur,
  • Dawa, une panthère des neiges – un animal mystérieux rarement observé par l’homme – confrontée à l’incroyable difficulté d’élever ses deux petits dans l’un des habitats les plus hostiles et les plus impitoyables du monde.

  
Pour plus de détails, rendez-vous sur la page Disneynature du film
 

 

Pour en savoir plus sur l’action du WWF en Chine

Le WWF a lancé le premier programme national pour la conservation du grand Panda en 1992. Il a permis la création d’une cinquantaine de réserves couvrant plus de 10 400 km2. La protection des forêts et la reforestation entrepris par la Chine ont aussi permis d’augmenter de près de 12% l’habitat des Pandas entre 1988 et 2010 et surtout de reconnecter les habitats isolés. En une trentaine d’années, les moyens mis en place pour préserver le Panda géant ont montré leur efficacité : le Panda a vu ainsi sa population passer de 1 100 individus à l’état sauvage lors du recensement de 1985 à une population de 1 864 adultes en 2015.

C’est avec la même détermination que le WWF a lancé en 2015 son premier grand plan d’action pour sauver le Léopard des neiges dont près de la moitié de la population vit en Chine. Perte d’habitat, braconnage et conflit avec l’homme, la population du félin a décliné de plus de 20% ces 20 dernières années.

Plus d’informations sur les actions que mène le WWF pour le Panda géant et le Léopard des neiges sur notre site internet.

Changement de gouvernement mais pas de méthode : La France tue de plus en plus de loups au lieu d’organiser la cohabitation

Les experts confirment les risques d'atteinte au bon état de conservation des loups, une espèce protégée<br />© Giancarlo MANCORI / WWF-ItalyL’arrêté fixant le nombre maximal de loups pouvant être tués pour la saison 2017-2018 vient de paraître : il fixe ce nombre à 40, soit 4 de plus que celui de la saison précédente ! Il poursuit et aggrave ainsi la gestion calamiteuse de ce dossier engagée par le précédent gouvernement.

Les experts confirment les risques d’atteinte au bon état de conservation de cette espèce protégée ; les études les plus récentes confirment que les tirs indifférenciés sur des loups, partout en France y compris où il n’y a pas d’élevage extensif, ne permettent pas de diminuer les attaques sur les troupeaux en particulier lorsque ceux-ci ne font pas l’objet de mesures de protection adéquates.

Peu importe, plutôt que d’organiser enfin la cohabitation, le nouveau gouvernement poursuit, sous les pressions de lobbies agricoles, la politique à courte vue de son prédécesseur. Nos organisations dénoncent ce non choix :

  • Qui outrepasse le taux maximum de 10 % de la population estimée présente, soit 360 individus, alors que l’expertise collective rendue, à la demande du précédent gouvernement, par le Muséum National d’Histoire Naturelle et l’ONCFS en début d’année établit que « les prélèvements légaux ne devraient pas, s’ils sont purement additionnels aux autres causes de mortalité, dépasser 10 % de l’effectif estimé pour que la population présente un bilan numérique au moins stable »
  • Qui est fait alors que l’Etat n’a établi aucun bilan des destructions importantes des 3 années précédentes, que ce soit en matière d’efficacité sur la prévention des dommages ou d’impact sur la dynamique de cette espèce protégée
  • Qui n’encadre toujours pas plus rigoureusement les autorisations de tir alors qu’il est établi que nombre d’attaques ont lieu sur des troupeaux non ou insuffisamment protégés
  • Qui privilégie la destruction massive d’individus d’une espèce protégée, au-delà des possibilités dérogatoires, et ne l’équilibre d’aucune disposition de progression de la protection des troupeaux ou d’expérimentations de nature à améliorer les dispositifs de protection.
  • Qui fait fi de l’approche scientifique et est pris sous des considérations politiciennes de court terme, qui ne permettent nullement de créer les conditions d’une co-existence pérenne.

Nos associations demandent que le prochain « Plan loup » 2018-2022 permette enfin au loup, espèce protégée aux niveaux international, européen et français, d’avoir des perspectives de présence pérenne dans notre pays. Et pour cela, il doit donner les moyens aux modes d’élevages qui s’étaient développés hors présence de prédateurs, de s’adapter à nouveau à cette réalité. Contre toute attente, alors que des changements radicaux avaient été promis, le nouveau gouvernement a loupé la première occasion qui lui été offerte de reprendre ce dossier par le bon bout. Nos organisations continueront à faire des propositions dans ce sens, convaincues que la co-existence entre les prédateurs et un pastoralisme durable est la seule voie d’avenir.