Un seul de ces rapaces peut se vendre plusieurs dizaines de milliers de dollars sur le marché noir. Grâce à cette manne, Muhammad Rafiq a pu faire rénover sa maison cette année.

« Chaque saison, des vendeurs de Karachi laissent leur contact et nous les rappelons si nous attrapons quelque chose », explique le « chasseur » de 32 ans. (…)

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