Dans l'Arctique norvégien, les animaux à l'épreuve du réchauffement

+2,5°C. L’arrivée plus précoce du printemps fait migrer des oies plus tôt, les rennes et les renards ont parfois du mal à se nourrir : sur l’île du Spitzberg, au cœur de l’Arctique norvégien, le réchauffement bouleverse la vie animale.

« Les bernaches nonettes, qui arrivent chaque printemps d’Ecosse, se sont adaptées à l’arrivée plus précoce du printemps au Spitzberg, où elles viennent nicher », explique à l’AFP Maarten Loonen, un ornithologiste en faisant cet été le tour des bâtiments épars et colorés du village scientifique de Ny-Ålesund pour observer les oies qui s’y sont établies. (…)

La suite de l’article sur le site de Sciences et Avenir : cliquez ici