Sylvie Brunel : « Le changement climatique n’est pas forcément une mauvaise nouvelle »

Vivre avec la fin du monde 4|6 Les discours catastrophistes sont démobilisateurs et ne tiennent pas compte de la capacité des hommes à innover et à coopérer. D’autant que la Russie, le Canada et l’Alaska bénéficient plus qu’ils ne pâtissent du réchauffement climatique, défend la géographe.

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