Le déclin de la faune sauvage pourrait être moins catastrophique que prévu

En septembre, le WWF a conclu que le monde avait perdu 68 % de ses vertébrés en près de 50 ans. Mais ce chiffre catastrophique des populations mondiales d’animaux serait surestimé, d’après une étude publiée ce mercredi par la revue Nature. A l’origine de cette possible erreur, les méthodes statistiques utilisées pour parvenir à ces conclusions.

Le précédent rapport du WWF de 2018 décrivait une baisse d’environ 60 % de ces populations de mammifères, oiseaux, poissons, reptiles et amphibiens entre 1970 et 2014. L’organisme a utilisé l’indice Planète vivante élaboré tous les deux ans par la Société zoologique de Londres (ZSL). C’est ce dernier qu’évalue l’étude de Nature, qui l’estime gonflé. (…)

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