La lutte contre le trafic de cornes de rhinocéros fait s’effondrer le marché de l’art

Ne parlez pas à Philippe Delalande de la législation sur le commerce des cornes de rhinocéros.

Cet expert respecté en arts asiatiques voit rouge. « Je suis 100 % d’accord pour protéger les rhinocéros, mais les mesures d’ordre écologique ne font pas sens pour les objets des XVIIe ou XVIIIe siècles, s’énerve-t-il. Ce serait comme interdire des christs en ivoire de la Renaissance. » (…)

La suite de l’article sur le site du Monde Afrique : cliquez ici