Avancer ? Faire demi-tour ? Impossible !… La tempête de sable qui faisait rage rendait ces deux manoeuvres aussi périlleuses l’une que l’autre. Le photographe Ugo Mellone et son assistant n’avaient plus qu’une solution : attendre. Rester stoïques tandis que les rafales giflaient leur 4×4, que le ciel et la terre de l’autre côté du pare-brise se fondaient en un décor uniformément ocre et que se dressait face à eux un infranchissable mur de poussière. Tout juste apercevaient-ils les silhouettes fantomatiques de quelques arbustes tourmentés par le vent. «Cette tempête était très impressionnante, raconte Ugo Mellone. Mais elle m’a porté chance.» (…)

La suite de l’article sur le site de GEO : cliquez ici