Les centres de soins aux animaux sauvages veulent assurer leur survie

Les centres de soins aux animaux sauvages ont un modèle économique qui repose essentiellement sur la générosité du public et les mécènes.

Un par un, une bénévole donne des vers à farine à becqueter à un jeune moineau domestique recueilli au centre LPO d’Ile Grande, en Bretagne, dédié aux soins des animaux sauvages. Des centres dont l’activité reste fragile. La jeune femme nourrit avec une pince à épiler l’oisillon enfermé dans une cage, qui piaille et ouvre un bec affamé. Des cages voisines abritent mésanges charbonnières, grives, choucas, une chouette effraie apeurée. Des hérissons mangent leur pâtée avant de retourner dans des caisses pour chat. Un goéland blessé à une patte observe le visiteur avec méfiance, tandis qu’à l’extérieur, ses congénères reprennent des forces dans une volière. (…)

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