Ce qu’il faut retenir du « monkeygate », nouveau scandale automobile allemand

 

  • Des médias américains et allemands ont révélé qu’un organisme financé notamment par Volkswagen, Daimler et BMW, avait réalisé des tests sur des singes et des cobayes humains pour mesurer les effets des gaz émis par les véhicules à motorisation diesel.
  • La direction de Volkswagen a décidé, mardi 30 janvier, de suspendre le lobbyiste en chef de l’entreprise, qui a reconnu son rôle dans l’organisation de ces tests.
  • De nombreux responsables politiques allemands et européens ont fustigé une pratique « immonde », « absurde » et « choquante ». (…)

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